Mars 1930, Henry Miller pose un premier pied à Paris, un premier pas vers la réalisation de son rêve, vivre à Paris, vivre de rien et, surtout, écrire. Si la rage d’écrire devait être définie par une personne, ce serait par Henry Miller. À quarante ans, le New-Yorkais d’origine n’a pourtant encore rien publié. Menant à Paris une vie de bohème, il y fait la rencontre de ceux qui l’influenceront et qu’il influencera, publiant enfin en 1934, Tropiques du Cancer, très vite suivi de nouveaux succès.
Pour François-Xavier Freland, c’est l’occasion de faire le portrait d’un homme libre, devenu plus parisien qu’un Parisien, et qui jouit sans entraves de tous les bonheurs de la capitale. Avec les amis qui l’entourent (Anaïs Nin, Brassaï, Alfred Perles, Lawrence Durrell…), il déambule dans le cœur battant d’une ville en pleine effervescence, au centre du monde.
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