Je me souviens de cette réflexion d’un chauffeur de taxi à mon arrivée, au lendemain de la libération de Gao :
« Lorsque les bombardements ont commencé, les hommes du Mujao ont fui dans une quarantaine de véhicules. Que sont-ils devenus ? Ils n’ont pas disparu comme ça ! Ca prouve qu’ils ne se cachent pas loin. »
Chauffeur de taxi
En savoir plus > De Gao à Sevare : la route qui inquiète les Malien
Laisser un commentaire